Nobuyuki Hattori

» Pseudo: Kessara » Âge: Toujours 23 ans » Comment as-tu trouvé FFVII-R ? Je suis un meuble du forum, voyons    » DC: Élise Scarlet (le monstre) ; Gabriel Cendre-Tallerond (le jock). » Mot de la fin: Donnez beaucoup d'amour au chaton  

Le clan Hattori. Autrefois symbole du Wutaï. Des samurais prêts à tout sacrifier pour protéger leur pays et ses habitants. Une famille respectée, connue sur toute l’île. Des personnes honorables, maitrisant le sabre comme personne, et pourfendant les ennemis de la nation. Lorsque la Shinra avait déclaré la guerre au Wutaï, les membres du clan Hattori s’étaient démenés pour vaincre l’ennemi de toujours. Mais que faire, contre de la magie, contre des armes à feu ? Contre les SOLDATs qui ravageaient tout sur leur passage ? Chaque bataille était une défaite. Un nouveau membre qui perdait la vie. Les Hattori se savaient impuissants, dépasser par la situation mais… ils étaient prêts à tout. Mourir pour sauver les autres, ne serait-ce qu’une seule âme, était l’unique option pour ces fiers guerriers. Fût un temps, il était impossible de ne pas croiser l’une de ses personnes au Wutaï, mais la guerre les avait tous emporté. Maris mourant au combat, femmes se suicidant pour ne pas déshonorer la famille, enfants arrachés à la vie, pour l’honneur, par tradition. L’histoire aurait dû s’arrêter là. Un clan puissant détruit par l’avidité d’une corporation démoniaque. La fin d’une ère, leur nom effacé dans les livres d’histoire.

Nobuhide Hattori. Membre d’une branche secondaire du clan. Le seul survivant, lui et sa famille. Celui qui hérita de tout. Du titre, des devoirs et responsabilités. Son épouse, guerrière tout aussi féroce que lui, avait péri au combat. Mais avant de disparaitre, son aimée lui avait laissé des présents. Trois, pour être exact. Nobuhiro, l’ainé énergique. Nobuyuki, le petit diable. Nobuhime, la princesse. Le patriarche aurait dû suivre dans les pas de ses ancêtres. Mais à quoi bon ? Pour que tous les gens qu’il aime meurent, de nouveau ? Ce stupide « honneur » avait emporté tout le monde. Détruit le pays. Il ne voulait pas que ses enfants prennent le même chemin. Nobuhide aimait son pays, de tout cœur, mais il avait trop sacrifié pour des idéaux stupides et désuets. Il voulait que ses enfants vivent, grandissent, aiment.  Au diable la tradition, et tout ce qui allait avec. Nom emporté par la guerre. Histoire mis sous silence, pour qu’ils n’essaient jamais de reproduire les « exploits » de leurs ancêtres. Une famille dépossédée de sa culture, mais pour une bonne cause. Celle de la vie, de l’amour. Le clan Hattori ne se relèverait jamais. Décision ultime, et irrévocable.

Si Yuki était né alors que la guerre faisait encore rage, il était à cette époque bien trop jeune pour en avoir le moindre souvenir. Parfois, dans ses cauchemars, ils revoyaient les flammes, le sang, les éclats de matéria au loin. Mais rien de plus. Lui et sa petite famille avaient grandi dans une ferme, loin du cœur du pays. Son père, reconverti en tant que fermier, se démenait jour et nuit dans les rizières, essayant de faire vivre les siens avec cette activité. Yuki grandit dans une situation d’extrême pauvreté, mais ça ne l’avait jamais dérangé. Turbulent et toujours de bonne humeur, il faisait sourire sa famille adorée dès qu’il le pouvait. Comme si au fond de lui, il était obligé d’ainsi agir. Pour panser les plaies béantes de son père. Pour protéger sa famille. Il arrivait que parfois, ils ne puissent manger certains jours. Alors son père partait, sabre au dos, revenant à la nuit tombée avec de quoi manger. De la viande, des mets délicats. Choses qu’il n’aurait jamais pu se permettre. Choses qu’il obtenait par la violence, tantôt mercenaire, tantôt bandit. Ce fût une enfance difficile, mais Yuki n’en avait que de bons souvenirs. Les jeux au milieu des rizières. L’amour de son père.

Puis l’âge de la raison était venu. Ce moment où l’on comprend les malheurs des adultes, qu’on ne sait pas quoi faire car on est au fond encore qu’un enfant. Yuki voulait aider, vraiment, mais il ne pouvait pas. Car si écrire et lire, et toutes ces conneries là, ne l’intéressaient pas, son père lui y voyait l’avenir. Une façon de s’élever dans le monde, quitter la misère. Tout sauf prendre les armes, en somme. La plume, au lieu du sabre, voilà ce que Nobuhide avait en tête. L’enfant n’eut d’autres choix que d’obtempérer, mais quelle terreur pour les professeurs de l’Académie. Toujours à préparer un mauvais coup, à tirer les couettes des jeunes filles, à jeter son pot d’encre au visage de sa maitresse. Compte tenu de tout ça, Yuki était plutôt bon, à l’école. Être un petit con n’avait jamais empêché d’être brillant, bien au contraire. Les années passées à l’Académie furent relativement belles. De nouveaux amis. De nouvelles connaissances. Le premier amour dans la cour de récréation. Tout ce dont un jeune homme avait besoin. Chaque année qui passait, il comprenait un peu mieux la situation périlleuse de sa famille mais… ça ne gonflait son cœur que de plus d’amour. Il les sortirait de là. Tous. Il n’avait pas d’autre choix.

A l’âge de 12 ans, Yuki quitta finalement l’Académie. Il aurait pu continuer à apprendre là-bas, puis les cours de combat étaient vraiment super intéressants mais… Il se devait d’aider sa famille. 12 ans, c’était l’âge idéal pour commencer à travailler dans les rizières. Un travail très épuisant, difficile, mais qu’il se devait de faire. Son grand frère, Nobuhiro, avait commencé à mettre la main à la patte depuis quelques années déjà. S’il aimait beaucoup son frère, une espèce de compétition malsaine avait toujours été là entre eux. Un truc de « mec », comme ils disaient. La vie à la ferme n’était pas facile, mais Yuki essayait toujours de voir le bon côté des choses. Parce qu’après une dure journée, il y avait toujours de la boisson, sa famille, et de quoi se détendre un peu. Et puis il fallait protéger Nobuhime, sa princesse. Celle qui continuerait à étudier à l’Académie. Il ne fallait pas le prendre en pitié, en dépit de tout cela, l’adolescent était heureux. Il en faut, vraiment peu pour être heureux ♫… Yuki commençait à comprendre, aussi, que les absences de son père étaient étranges. Que quand il revenait, son sabre était couvert de sang. Mais il ne comprenait pas… Ou ne voulait pas comprendre ? Son père, un guerrier, meurtrier ? Impensable.

Et puis il l’avait vu elle. La vraie princesse de son pays. Mademoiselle Levia. Alors qu’il faisait une livraison, son regard était tombé sur son groupe. Quatre jeunes filles. Ils connaissaient trois d’entre elles. Ils les avaient croisés plusieurs fois, alors qu’il étudiait encore à l’Académie. Il n’était peut-être qu’un simple paysan, mais il les entendait, les rumeurs. S’il n’était pas le plus malin des jeunes hommes, il pouvait deviner qui elle était sans trop de problème. De ces informations, il n’en fit rien. Car ce n’était pas son problème et puis… il n’en avait pas le droit. De se mêler à ses gens à la peau blanche. A ses gens qui avaient tout ce qu’ils voulaient. Qui ne trimaient pas dans les rizières pour nourrir le reste du pays. Une rencontre édifiante pour lui, mais qui ne représentait rien aux yeux de ces jeunes filles. L’histoire de sa vie… Les choses ne se passaient pas très bien à la maison aussi, alors il avait autre chose en tête. Son père et son grand frère se disputaient sans cesse. Hiro parlait de reprendre la guerre. De sauver la planète. Yuki n’y comprenait rien. Pas à cette époque là en tout cas. L’ainé avait un jour claqué la porte, et n’était jamais revenu. Le début de la fin. Le monde entier, lui aussi, semblait s’écrouler. La météore, phénomène étrange qu’il n’avait pas su expliquer. Les rumeurs sur l’attaque d’une étrange organisation, Deepground. Plus rien n’allait. Du tout.

18 ans. La majorité. Mais une envie de renouveau. Car Hiro n’était jamais rentré. La princesse de son pays avait disparu. Et trimer dans les rizières ne le mènerait nulle part. Il aimait son père. Sa sœur. Mais si la famille voulait un jour se relever, il allait faire changer de tactique. Et si Yuki ramenait Levia à son père ? Peut-être qu’il le récompenserait grassement ? Plus que ça, le jeune homme était inquiet. Car il comprenait, désormais, ce que son frère faisait. Travailler pour AVALANCHE était une tâche dangereuse. Il comprenait leur lutte, leurs idéaux. Mais il ne voulait pas le perdre. Et s’il se battait à ses côtés ? Yuki ne savait pas quoi faire, quoi dire. Mais il devait agir. Alors lui aussi, il claqua la porte. Mais pas sans rien. Il avait pris le sabre de son père, prenant cette « relique » pour se protéger…. Sans savoir toute l’histoire que contenait cette lame.

Encore un super personnage qu'il me tarde de voir en action ! Descendant de samouraï au milieu des ninjas. Bon par contre Levia-chou est absolument pas d'accord pour rentrer hein ! Non mais  

Félicitations, nouveau Mithril, tu rejoins la Planète Gaïa. Fraichement présentée au monde, il ne reste plus que quelques petites formalités à régler.

A partir de maintenant, ta destinée va pouvoir s'accomplir mais avant toute chose, il va te falloir recenser ton avatar et demander l'ouverture de ton dossier personnage.

Les relations sont très importantes car personne ne veut se retrouver seul face à une armée n'est-ce pas? N'hésite donc pas à te créer des liens en te rendant ici.

Terminer ta fiche de présentation vient de te rapporter 1000 gils à toi de les dépenser à ta guise dans la boutique. Sache qu'un salaire fixe te sera versé chaque mois pour peu que tu ais publié une réponse RP mais tu peux également gagner des gils lors de combats ou d'event.

Les AP permettant de faire évoluer les matérias, pour leur part, se gagnent exclusivement au combat.

Enfin, les xp seront ajouté automatiquement à chaque réponse RP.

Il est maintenant temps de passer au tirage des HP/MP de base ainsi que des statistiques initiales.
Elles apparaîtront dans cet ordre :
- La Force
- La Vitalité
- La magie
- L'Esprit
- La Dextérité
- La Chance

Pour le cas où ce tirage ne t'irais vraiment pas, il sera possible d'en refaire un mais, attention, ce sera quitte ou double. Seul ce second tirage comptera. Il ne sera pas possible de choisir entre les deux.

C'est tout pour le moment, amuse toi bien et profite de ton expérience sur Final Fantasy VII Rebirth!